La terre saigne depuis la nuit des temps
De grande misère et de guère souvent
Et pour chaque soldats qui rentre, une femme attend
Les hommes les pires et les tous puissants
Les pires bourreaux et même Adolf vivant
Avait tous au moins une femme qui les aimaient tant
Quand c’est pas une sœur, c’est une mère qui est
Et quand c’est pas la mère, c’est l’épouse qui est
Et quand c’est pas l’épouse, c’est une autre femme
Ou… une maîtresse qui espère alors
Si c’est vrai qu’elle nous pardonne tout
Si c’est vrai qu’elle nous aime malgré tout
Si c’est vrai qu’elle donne aux hommes le jour
Moi je dis, que le bon dieu est une femme
Nos mères paient depuis la nuit des temps
Depuis l’histoire de la pomme d’Adam
Elle porte les maux et les torts du monde tout leurs vivants
Le ciel bénisse la femme qui aime encore
Un infidèle jusqu’à la mort
Faut être dieu pour être trahi et aimer plus fort
2 commentaires:
merveilleuse ode au femmes ...... mais faut pas oublier k'elle nous font souffrir aussi de temp en temp
Faut bien qu'il y ait un point négatif.
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